Mon oeil 2

Black beauty

refroidi

Pub

Plancha

Coucou

Onanisme batracien

(Tomi Ungerer)

Installation

artiste contemporain

(Cédric Jubilard)

Sans commentaire..

Mon oeil  1

Art contemporain ?

Installations et (dé)compositions

Ukraine 2022

‘L’humour est la seule façon d’humaniser la religion.

La foi sans sourire est une vérité qui n’est jamais effleurée par le doute ‘

L.Jerphagnon

Œdipe  ( revisité..)

Dans la version initiale Œdipe, à son insu, tue son père et couche avec sa mère. 

(À qui il fait au passage deux enfants ..)

Quand on le lui apprend, il se crève les yeux,

organes qui sont censés lui  avoir fait découvrir la vérité..

Ce qui est très con puisqu’en l’occurrence ça ne s’est pas passé comme ça.

Il faudrait donc réécrire la pièce avec un Œdipe d’emblée aveugle ce qui ne changerait rien à la qualité du mythe. 

Ainsi il pourrait avoir tué son père en conduisant une voiture

 (ce qui n’est pas très recommandé pour les aveugles)

et couché avec sa mère ce qui par contre reste à tout le moins à la portée de n’importe quel non voyant.

Apprenons comme dans la version de Sophocle la vérité par  la bouche du malicieux Laïus :

‘Il se crèverait alors,

 dramatiquement,

 les tympans. 

Rideau

La société oblige tout un chacun (e) à retenir ses pulsions sexuelles et son agressivité vis-à-vis d’autrui.

C’est donc elle qui conduit à la névrose 

et  emprisonne les déviants qui se laissent aller à leurs pulsions naturelles.

« Que celui qui n’a jamais péché lui jette… »

« Il faudrait une main pure,

 pour jeter la première pierre;

 mais les mains pures ne jettent pas de pierres. »

(Julien Green)

Les pauvres, les nécessiteux, les chômeurs, les gueux en quelque sorte, quand ils allaient chez l’épicière, il faisaient marquer.

C’était la forme primitive, populaire, du crédit.

Aujourd’hui, déshumanisation de la société dite de consommation il n’est pas question de faire marquer chez Carrefour, Leclerc ou autre Auchan.

La seule façon pour les gueux  de s’en sortir et de recourir aux Cételem et autres charognards qui pour du 19,99 % leurs « sauvent la mise » et qui en plus ont le culot de leur faire en permanence de la retape.

Comme si ma vieille épicière remontait à l’époque, son tablier,

sa jupe et même pire en me disant, devant la porte de sa boutique : 

« Tu entres , chéri ?

La bonne société a coutume de  conspuer la prostituée, la pute, sa lie..

Elle recouvre d’un mépris égal, les assistés, chômeurs et autres Rmistes qui pour le coup,

en plus*,

 ne branlent rien..

*ou plutôt ´en moins’ ..

J’avais besoin d’un lave-vaisselle.

On m’a conseillé de chercher sur Internet.

J’ai trouvé, en un rien de temps.

Sur Meetic.

Poésies de Michel Houelbecq (résumé) :

 ‘  Il y aura les regrets, 

    Puis un sommeil très lourd.’

Il faut se méfier des révolutions.

Elle commencent  au nom de la pureté;

Et finissent par l’épuration.

A l’époque COVID, on avait, sur toutes les chaînes, à longueur de journée,

des épidémiologistes.

Dorénavant, on a des généraux:

Différence: Ils font comme les miss « météo »

En moins sexy..

et se mettent, eux,  à droite de la carte,

Pourquoi  ??

Les femmes aiment à se cambrer.

Ça leur  rappelle la côte dont elles sont issues.

Le vrai paresseux s’enorgueillit, non pas de mépriser le travail ,

mais d’aimer l’oisiveté pour elle-même.

Une longue vie permet de mieux prendre son élan, 

pour le bond vers la mort.

Révolution :

Il s’agit d’égorger, 

les gorgés.

Comme tous les solitaires il m’arrive de parler tout seul ; 

comme si la voix humaine m’était nécessaire.

Les cuisses sont la partie la plus prometteuse des jambes, 

que l’on remonte tel un saumon énervé

qui retourne pondre à sa source.

On fronce la bouche pour ce baiser sans objet 

qu’est la  moue.

J’ai préféré le piano au violon. 

Il n’y a pas besoin de tenir l’instrument,

il se tient tout seul sur ses jambes.

(Daniel Barenboïm)

Période pré-électorale..

Vous n'êtes pas 'Lequesnois' ??

VOTEZ GROSEILLE...!

Souvenir des années 201.....

Sans doute intrigué par une publicité prégnante, déroulée « ad nauseam »  tout au long de la semaine sur les ondes de France Inter, voilà que je me laisse aller à ouïr le débat « politique » entre deux analystes de la chose, censément affûtés pour ce type d’exercice,

monsieur Raphaël Glucksmann et madame Natacha Polony.

(Pardon, madame Natacha Polony et monsieur Raphaël Glucksmann.)

Dieu merci, je n’écoute cela que de façon entrecoupée, comme d’aucuns lisaient, en un temps, le journal « d’une fesse distraite »,

attelé à une autre tâche, vraisemblablement culinaire,  qui ne m’empêche pas d’entendre.

Au fil des bribes qui me parviennent à l’ oreille, force est de constater le vide sidéral de quoi sont affligés  et la teneur des débats en question et leur pertinence, ce qui me conduit à évoquer la

phrase culte de Pascal  (Blaise):

« Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie. ».

Elle vient à l’appui de cette sentence de qui, (dont le nom malheureusement m’échappe),  proférait que les critiques, éditorialistes, et autres commentateurs étaient des

« impuissants qui s’arrogent le privilège de juger les érections des autres ».

Ma production alimentaire n'en a pas été altérée pour autant ;

Il m’a , Dieu ,(s’il n’en peut mais), merci ,

suffi d’appuyer sur un bouton pour que l’air, qui véhicule les sons dans mon environnement,

redevienne respirable.