dimanche 7 janvier 2018




Sans doute intrigué par une publicité prégnante, 
déroulée « ad nauseam » tout au long de la semaine sur les ondes de France Inter, 
voilà que je me laisse aller à ouïr le "débat politique",
entre deux analystes de la chose,
censément affûtés pour ce type d’exercice,
monsieur Raphaël Glucksmann et madame Natacha Polony.
(Pardon, mada.m.e Natacha Polony et monsieur Raphaël Glucksmann.)
Dieu merci, je n’écoute cela que de façon entrecoupée, 
comme d’aucuns lisaient,
en un temps,
le journal 
« d’une fesse distraite »,
attelé à une autre tâche qui ne m’empêche pas d’entendre.

Au fil des bribes qui me parviennent à l’oreille, force est de constater le vide sidéral de quoi sont affligés et la teneur des débats en question et leur pertinence,
ce qui me conduit à évoquer la phrase culte de Pascal (Blaise):
« Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie. ».
Elle vient opportunément à l’appui de cette sentence de qui,
 (dont le nom malheureusement m’échappe),
 proférait que les critiques, éditorialistes, et autres commentateurs étaient des
« impuissants qui s’arrogent le privilège de juger les érections des autres ».

Il m’a , Dieu ,
(s’il n’en peut mais),
merci ,
suffi d’appuyer sur un bouton pour que l’air, 
qui véhicule les sons dans mon environnement,
redevienne enfin respirable.




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